Depuis un an, dans le contexte particulier de pandémie, nous avons vu l’exacerbation des vulnérabilités humaines à travers les fragilités biologiques, psychiques, sociales et les tensions collectives et mondiales. Par ailleurs, les inégalités (de genre, sociales, raciales) ont d’autant plus été actualisées dans une modernité où persiste un paradoxe entre des valeurs démocratiques et universalistes, où les individus auraient les mêmes droits, et les processus socio-politiques par lesquels ces individus sont traités inégalement.
Quelles réflexions la démarche clinique en sciences sociales peut-elle aujourd’hui apporter sur ces formes de vulnérabilité? Quelle posture adopter et comment agir face à ces nouvelles contraintes et injonctions qui induisent les vulnérabilités actuelles ?

Comité organisateur.

Sophie Hamisultane, professeure à l’École de travail social de l’Université de Montréal
Charlène Lusikila, étudiante en maîtrise à l’École de travail social de l’Université de Montréal.