Par Anne Vincent-Buffault (2017), L’Harmattan

 

« L’histoire sensible du toucher se compose de caresse, vulnérabilité, chaleur, gestes du travail, transformation de la matière… La douceur cotoie la volonté de maitrise. Le contact est à l’articulation de l’affect et de la pensée. Il peut ainsi causer une déflagration, ou par son absence marquer les hierarchies ou engendrer des régimes d’indifférence. L’histoire du toucher est celle de notre ouverture sensible au-dehors. » (présentation éditeur)