Mercredi 10 février 2021 – 10h45-17h30, en ligne (visioconférence) sur Teams
« Cette journée vise à présenter les travaux d’un groupe de recherche regroupant des chercheur.se.s de plusieurs horizons disciplinaires (sciences de l’éducation, anthropologie, psychologie) qui travaille depuis 2019 à explorer les formes contemporaines de l’habiter à partir de problématiques que le confinement a rendu plus aigües que jamais. Nous partirons de l’hypothèse que notre époque dite « disruptive » rend difficile de trouver le temps et les dispositifs susceptibles de nous faire saisir le sens de notre condition d’habitant, dans sa matérialité comme aux plans imaginaire et symbolique.
Dans cette optique, nous proposons de considérer la notion de « capacité habitante » comme une possibilité d’être en prise avec son environnement (Heidegger) afin de « prendre soin de soi », à partir de regards disciplinaires croisés (sciences de l’éducation et anthropologie) et d’objets d’étude pluriels (contraintes spatiales, corporéité, sentiment de se sentir « chez soi », langues, professionnalité, prénoms…). Il s’agira de comprendre les conditions de construction, d’étayage et de transmission de cette capacité habitante. »
Responsable : Françoise Hatchuel, professeure en sciences de l’éducation, « équipe « savoir, rapport au savoir et processus de transmission » (SRSPT), Centre de Recherches en Education et formation (CREF), université Paris Nanterre (membre de la Comue Paris Lumières) et l’ensemble des chercheur.se.s du groupe (voir nom et affiliation au fil du programme)
Pour plus d’informations, voir: https://cref.parisnanterre.fr/manifestations-scientifiques/capacite-habitante-et-formes-contemporaines-de-l-habiter-1000560.kjsp?RH=1515582068027
et programme téléchargeable ici: Programme JE – capacité habitante